Articles sur le sujet: Actualités



suivi de pharmacovigilance : Antiviraux et Vaccins antigrippaux A(H1N1)

Antiviraux utilisés dans le cadre de la grippe A(H1N1), 2e bulletin de suivi de pharmacovigilance
 

L'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) publie le 2e bilan des notifications d'effets indésirables observés lors de l'utilisation des traitements antiviraux TAMIFLU (oseltamivir) et RELENZA (zanamivir), ainsi que de ZANAMIVIR IV, médicament disponible uniquement dans le cadre d'une ATU (autorisation temporaire d'utilisation) et indiqué dans les formes graves de grippe A(H1N1). Ce 2e bulletin porte sur la période du 1er octobre au 27 décembre 2009.

Selon l'Afssaps, les effets indésirables portés à sa connaissance à la date du 27 décembre 2009 ne remettent pas en cause la balance bénéfice-risque de ces médicaments.

En savoir plus :

Suivi de pharmacovigilance des antiviraux utilisés dans le cadre de la grippe A(H1N1) : bulletin n° 2, Afssaps (7 janvier 2010)

15/01/2010 - L'OFFICIEL DU MÉDICAMENT / Pharmacovigilance
Source : Afssaps (7 janvier 2010)

 

Vaccins antigrippaux A(H1N1), 10e bulletin hebdomadaire de suivi de pharmacovigilance:

 

Comme chaque semaine depuis le début de la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1), l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) publie le bilan des notifications d'effets indésirables liés aux vaccins antigrippaux A(H1N1). Ce 10e bulletin porte sur la période du 21 octobre 2009 au 3 janvier 2010.

Selon l'Afssaps, les effets indésirables portés à sa connaissance à la date du 3 janvier ne remettent pas en cause la balance bénéfice-risque des vaccins PANDEMRIX, PANENZA, CELVAPAN et FOCETRIA.

 

En savoir plus :

Suivi de pharmacovigilance des vaccins grippaux A(H1N1) : bulletin n° 10, Afssaps (7 janvier 2010)

 

15/01/2010 - L'OFFICIEL DU MÉDICAMENT / Pharmacovigilance
Source : Afssaps (7 janvier 2010)

 

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Les Français face à un système de soins devenu illisible

Combien rembourse l'assurance-maladie pour tel acte médical ou tel type de consultation ? A quoi correspond ce forfait de 1 euro qui apparaît sur les relevés de remboursements ? Quels frais sont pris en charge par les mutuelles ?...

Confrontés à un système de soins devenu quasi incompréhensible au fil des années, les particuliers se disent souvent désarmés, notamment quand il s'agit de savoir à quoi correspondent les tarifs de santé. Avec la création, au 1er janvier, d'une nouvelle vignette de remboursement de médicaments, qui sera orange cette fois, et la hausse annoncée des cotisations des mutuelles de 5 %, la tâche ne devrait pas leur être simplifiée en 2010.

"Comprendre les tarifs de santé est désormais aussi complexe que comprendre sa facture de téléphone", observe Christian Saout, le président du Collectif interassociatif sur la santé (CISS), qui représente les patients. M. Saout regrette que, contrairement aux télécommunications, il n'existe pas dans le secteur de la santé d'agence de régulation. Pourtant, le système a évolué au point de paraître illisible, notamment en ce qui concerne les tarifs de la médecine de ville (hors hôpital et affections longue durée). La diversification des tarifs remonte aux années 1980. Est alors créé, en sus du secteur 1 (médecins conventionnés par la Sécurité sociale, dont la consultation est au tarif de base), le secteur 2, qui a permis à certains médecins de pratiquer les honoraires libres. Une décision qui a débouché, vingt ans plus tard, sur la généralisation des dépassements d'honoraires, désormais considérés comme l'un des points noirs du système.

Mais c'est surtout dans les années 2000 que le système de soins s'est singulièrement complexifié.

Prises dans l'optique de responsabiliser des Français gros consommateurs de soins et de réduire le "trou" de la Sécurité sociale, les mesures créées par les pouvoirs publics ont été nombreuses, et souvent compliquées. Comme la franchise médicale de 0,50 euro par boîte de médicaments, entrée en vigueur en 2008 et plafonnée à 50 euros par an, ou, sur le même principe, le forfait de 1 euro par consultation adopté en 2005, qui ne concerne cependant pas les dentistes ou les kinésithérapeutes.

Moins connu, un système complexe de majoration des consultations médicales en fonction des situations (urgence, week-end, consultation d'enfant) a été instauré afin de mieux adapter les revenus des médecins à leur pratique. Ainsi, un supplément de 5 euros pour les moins de 2 ans, ou de 3 euros pour les 2 à 6 ans a été instauré chez les généralistes.

Plus marquante a été la création du parcours de soins, en 2004 qui aboutit, en cas de non-respect par le patient du passage devant le médecin traitant, à un remboursement moindre de 40 % des tarifs de consultation contre 70 % habituellement. Autant de modifications qui se concrétisent par des lignes et des sigles supplémentaires sur les relevés de remboursement de l'assurance-maladie. Ainsi la franchise sur les médicaments est déduite d'autres remboursements, notamment les consultations, puisque les boîtes sont souvent délivrées sans que l'assuré ait à verser quelque chose en pharmacie.

Pour rajouter à la complexité, les complémentaires de santé ne prennent pas forcément tous les déremboursements à leur charge. Ce sera ainsi le cas pour les médicaments qui vont entrer, au printemps, dans la nouvelle catégorie des remboursements "à 15 %". Leur vignette orange s'ajoutera aux bleues et blanches des boîtes déjà remboursées à 35 %, 65 % et 100 %. Devraient y être inscrits des produits bénéficiant jusque-là du taux de 35 %, dont le service médical rendu a été jugé faible ou insuffisant. Une mesure prévue dans le budget 2010 de la Sécurité sociale. La Mutualité française a déjà estimé que s'ils étaient jugés inefficaces, il ne fallait pas les rembourser. Ce qui ne veut pas dire que toutes les mutuelles qu'elle fédère suivront cette recommandation...

Cet exemple est la preuve que les offres des complémentaires de santé sont aussi devenues un casse-tête pour les particuliers. En témoignent les nombreux sites de comparaison apparus sur Internet. "Les mutuelles apportent le complément des remboursements de l'assurance-maladie. Dans un système qui s'est complexifié au point de devenir d'une opacité totale, leur intervention ne peut être d'une lisibilité parfaite", justifie Jean-Pierre Davant, le président de la Mutualité française.

Alors que ce dernier a annoncé que les cotisations devraient augmenter en moyenne de 5 % en 2010 du fait de la hausse des dépenses de santé, les Français pourraient être nombreux à être tentés de changer de complémentaire. "Le turnover est important pour les assurés en contrats individuels, et les augmentations de prix sont de plus en plus un vecteur de changement", explique Mathias Matallah, président de Jalma, un cabinet de conseil spécialisé dans la santé.

Selon lui, à bien y regarder, même si les expressions utilisées diffèrent, les offres des complémentaires ne sont pas si éloignées. Les vraies différences se limitent à trois postes : les soins dentaires et l'optique, dont l'assurance-maladie s'est largement désengagée, ainsi que les dépassements d'honoraires des médecins.

Mais encore faut-il comprendre dépliants et devis... Pour permettre aux usagers de choisir en connaissance de cause, le CISS réclame la mise en place d'un contrat de base, à 40 euros pour tous les opérateurs, qui permettrait de comparer ce que les uns et les autres proposent pour ce prix.

Aujourd'hui, tous les observateurs du système de santé s'accordent à dire que sa complexité accrue pose problème. Les complémentaires de santé, poussées par les pouvoirs publics, viennent d'engager une réflexion, dont pourrait émerger, d'ici la fin 2010, un glossaire commun ou des montants de remboursements libellés en euros, et non en pourcentage des tarifs de la Sécu que nul ne connaît.

L'assurance-maladie aussi réfléchit à comment améliorer la lisibilité. Déjà, sur son site www.ameli.fr, il est possible de se renseigner, entre autres, sur les tarifs de chaque médecin. Depuis 2009, en outre, les professionnels doivent fournir un devis pour tout acte, avec dépassement d'honoraires, supérieur à 70 euros. Mais tous ne s'exécutent pas encore.

Source : Le Monde.fr , soigner.org
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Communiqué de Presse : Alerte Botulisme

CONFIRMATION DE BOTULISME D’ORIGINE ALIMENTAIRE

ET EXTENSION DU RETRAIT/RAPPEL DES PRODUITS

Le Centre national de référence a informé ce jour les autorités sanitaires et vétérinaires que les échantillons de plat mexicain « enchiladas au poulet» de la marque « Companeros », prélevés suite à l’hospitalisation ce week-end de deux personnes d’une même famille, présentent une très forte toxicité liée à la présence de toxine botulique. Ces deux personnes sont toujours dans un état préoccupant mais stable.

Par conséquent le professionnel concerné en accord avec les autorités sanitaires et vétérinaires procède au retrait et au rappel de l’ensemble des produits de type « enchiladas » et « fajitas » de la marque Companeros quelle que soit la date limite de consommation

Les produits portant le numéro de lot 08/ 190 avec une date de consommation au 7 août 2008 ne sont donc pas les seuls lots concernés par ce retrait/rappel.

Les autorités sanitaires rappellent que les produits concernés ne doivent en aucun cas être consommés, ni conservés. Ils ne doivent cependant pas être jetés mais rapportés sur le lieu de vente pour permettre des analyses.

Le botulisme est dû, le plus souvent, à l’ingestion d’une toxine produite par la bactérie Clostridium botulinum. Il n’y a pas de transmission interhumaine. Le délai entre la consommation du produit contaminé et l’apparition des troubles digestifs ou visuels est en moyenne de 6 à 36 heures (maximum 15 jours).

L’apparition, dans les 48h suivant la consommation de ces produits, de douleurs abdominales, de vomissements, de troubles digestifs ou de troubles de la vision doit conduire à consulter rapidement un médecin.

Contacts presse :

Direction générale de l'alimentation :
Patrick Tallon - 01 49 55 58 39 - 06.70.64.15.98 - patrick.tallon@agriculture.gouv.fr 

Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes :
Gérard Péruilhé01 44 97 23 91communication@dgccrf.finances.gouv.fr 

Direction générale de la santé :
Marika Valtier – 01.40.56.42.43 / 06.74.97.85.17 - marika.valtier@sante.gouv.fr
Site internet : http://www.sante.gouv.fr/htm/dossiers/botulisme/accueil.htm

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Pression sur le portefeuille

Les Alsaciens restent réticents vis-à-vis des médicaments génériques. Deux mesures les incitant financièrement à choisir les génériques devraient entrer en vigueur avant fin 2007.

Le Bas-Rhin se situe en queue de peloton à l'échelle nationale, en matière de délivrance de médicaments génériques ; le taux de pénétration des génériques s'y situe autour de 70%, alors qu'il est de 72,3% dans le Haut-Rhin, de 81,5 % en Corse-du-sud ou de plus de 86 % pour le département des Pyrénées-Orientales. En France, la moyenne se situe à 75%, selon les chiffres de la caisse nationale d'assurance-maladie. Les Bas-Rhinois sont donc moins consommateurs de génériques que la moyenne. Les Haut-Rhinois également, mais dans une moindre mesure. ...

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GÉNÉRIQUES : RÉSERVER LE TIERS-PAYANT AUX ASSURÉS QUI ACCEPTENT LA SUBSTITUTION

PARIS, 5 octobre - La Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) de Paris a annoncé mercredi la conclusion d'un accord avec les syndicats de pharmaciens pour limiter le droit au tiers-payant aux assurés qui acceptent la substitution générique, suivant ainsi l'exemple des Alpes-Maritimes.

A Paris, le taux de substitution au sein du répertoire des génériques a atteint 49% fin août, alors que la moyenne nationale s'est établie à 63% à la même date.

Après avoir annoncé en septembre le lancement d'une campagne de sensibilisation centrée sur l'information et la promotion des génériques, à destination des assurés, des officinaux et des médecins, la directrice générale de la CPAM de Paris, Marie-Renée Babel, a fait part de la signature d'un "engagement avec tous les syndicats de pharmaciens" qui "fait respecter le droit de substitution du pharmacien, inscrit dans la loi".

Selon les termes de cet accord, qui prendra effet le 16 octobre, tous les officinaux parisiens devront réserver le droit au tiers-payant aux assurés qui acceptent la substitution (hors cas où sa pratique est obligatoire, comme pour les bénéficiaires de la Couverture maladie universelle). Un suivi officine par officine sera effectué tous les quinze jours afin de "venir en aide aux pharmacies qui connaissent des difficultés dans l'application de l'accord".

La directrice générale de la CPAM de Paris a ajouté que des délégués de l'assurance maladie iront présenter cet accord dans chaque officine.

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Action pour la Ligue contre le Cancer du Haut-Rhin 2005-2006

Colmar / Ligue contre le cancer

La générosité des pharmaciens   
Le syndicat des pharmaciens du Haut-Rhin a remis un chèque de 4 579 euros à la Ligue départementale contre le cancer, vendredi à Colmar.
A la fin de l'année 2005, les membres du syndicat des pharmaciens du Haut-Rhin, environ 150 officines, proposaient à la vente le traditionnel calendrier édité par la Ligue contre le cancer, fourmillant de conseils nutritionnels. Le produit de cette vente, 4 579 euros, a été remis vendredi par le vice-président du syndicat Frédéric Schneider, à Bruno Audhuy et Christian Million, respectivement président et directeur du comité départemental de la Ligue contre le cancer.


Le produit de la récolte menée par les pharmaciens haut-rhinois est en constante augmentation depuis trois ans. (Photo DNA-Nicolas Pinot)

Une alimentation « trop riche »
En augmentation de 50% depuis la précédente campagne, la somme est bienvenue pour permettre à la Ligue de mener à bien ses « missions » de recherche, d'aide au développement des équipements hospitaliers, d'aide aux malades, de prévention et d'information. « Très satisfait du partenariat avec les pharmaciens haut-rhinois », Bruno Auduhy a rappelé les mauvais résultats du Haut-Rhin, qui connaît une « surmortalité » comparé aux autres départements français. Une réalité notamment due à l'alimentation, « trop riche » en Alsace. Le calendrier édité par la Ligue propose des recettes saines et équilibrées élaborées par des grands chefs étoilés du monde culinaire.

Extraits de l'article DNA (23/04/06)

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Le CANCER

Comment prévenir le cancer ?

En 20 ans, le nombre de nouveaux cas de cancers en France a augmenté de 63 % : près de 280 000 cas en 2000 contre 170 000 en 1980... Le point sur les moyens de les éviter et de les dépister, avec le Pr David Khayat, chef du service d'oncologie médicale à la Pitié-Salpêtrière (Paris), qui dirige le tout nouvel Institut national du cancer.

voir page suivante :

Les prédispositions génétiques


MANGEZ 5 FRUITS ET LÉGUMES PAR JOUR !!!!!!

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Maladie d'Alzheimer,

des accueils de jour pour sortir de l'isolement.



  • Les familles touchées par la maladie d'Alzheimer se referment sur elles-mêmes, avec souvent pour conséquence le déclin accéléré du malade. Animées par des professionnels, des structures d'accueil à la journée redonnent une nouvelle vie aux malades et à leur entourage...
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