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Sommaire de l'article


Novalac : Rappel de lot d’AR DIGEST

Paris, le 24 septembre 2008. Suite à une suspicion de présence de salmonelle dans de l’AR DIGEST 800g lot n°10 de Novalac, portant la date d’expiration du 18/06/2011, le laboratoire a procédé par mesure de précaution depuis hier au rappel du lot numéro 10, rappel à ce stade effectif.
Toutefois, les retours consommateurs, enregistrés depuis 24 heures montrent une certaine confusion (entre les numéros de lot, de boîtes et les dates d’expiration notamment). C’est pourquoi, pour faciliter le rappel, il a été décidé de l’étendre aux lots se terminant par les numéros 01 à 10 d’AR Digest.
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Communiqué de Presse : Alerte Botulisme

CONFIRMATION DE BOTULISME D’ORIGINE ALIMENTAIRE

ET EXTENSION DU RETRAIT/RAPPEL DES PRODUITS

Le Centre national de référence a informé ce jour les autorités sanitaires et vétérinaires que les échantillons de plat mexicain « enchiladas au poulet» de la marque « Companeros », prélevés suite à l’hospitalisation ce week-end de deux personnes d’une même famille, présentent une très forte toxicité liée à la présence de toxine botulique. Ces deux personnes sont toujours dans un état préoccupant mais stable.

Par conséquent le professionnel concerné en accord avec les autorités sanitaires et vétérinaires procède au retrait et au rappel de l’ensemble des produits de type « enchiladas » et « fajitas » de la marque Companeros quelle que soit la date limite de consommation

Les produits portant le numéro de lot 08/ 190 avec une date de consommation au 7 août 2008 ne sont donc pas les seuls lots concernés par ce retrait/rappel.

Les autorités sanitaires rappellent que les produits concernés ne doivent en aucun cas être consommés, ni conservés. Ils ne doivent cependant pas être jetés mais rapportés sur le lieu de vente pour permettre des analyses.

Le botulisme est dû, le plus souvent, à l’ingestion d’une toxine produite par la bactérie Clostridium botulinum. Il n’y a pas de transmission interhumaine. Le délai entre la consommation du produit contaminé et l’apparition des troubles digestifs ou visuels est en moyenne de 6 à 36 heures (maximum 15 jours).

L’apparition, dans les 48h suivant la consommation de ces produits, de douleurs abdominales, de vomissements, de troubles digestifs ou de troubles de la vision doit conduire à consulter rapidement un médecin.

Contacts presse :

Direction générale de l'alimentation :
Patrick Tallon - 01 49 55 58 39 - 06.70.64.15.98 - patrick.tallon@agriculture.gouv.fr 

Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes :
Gérard Péruilhé01 44 97 23 91communication@dgccrf.finances.gouv.fr 

Direction générale de la santé :
Marika Valtier – 01.40.56.42.43 / 06.74.97.85.17 - marika.valtier@sante.gouv.fr
Site internet : http://www.sante.gouv.fr/htm/dossiers/botulisme/accueil.htm

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Médicaments en accès direct

mise à jour : 01 juillet  2008
Le décret « médicaments de médication officinale », qui vient d’être publié, autorise la mise à disposition de certains médicaments devant le comptoir des pharmacies d’officine, en accès direct, dans un espace spécialement dédié à cet effet.
L’Afssaps a été chargée de définir la liste des médicaments concernés par cette mesure selon des critères visant à garantir la sécurité sanitaire et la sécurité des patients. L’Afssaps rend aujourd’hui publique la liste des médicaments de médication officinale disponible en accès direct.
Par ailleurs, l’Afssaps et le Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens ont produit conjointement un ensemble de documents d’information avec le concours de professionnels de santé, d’industriels et de représentants d’associations de patients, afin d’accompagner la mise en œuvre de cette mesure.

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Pétition : Demain, il sera peut-être trop tard

Bonjour,
Vous avez récemment souhaité savoir pourquoi il est urgent de tomber malade aujourd’hui… C’est simple : parce que demain il sera peut-être trop tard.
Trop tard pour être bien conseillé en matière de santé.
La libéralisation et l’ouverture de la vente de médicaments à la concurrence pourraient faire disparaître le conseil de proximité et la garantie de sécurité que vous offrent aujourd’hui 23000 pharmaciens partout en France.
Alors n’attendez pas, il y a urgence.
Rendez-vous sur
www.defendezvotresante.com pour vous informer et nous aider à défendre votre santé. Invitez également vos amis à connaitre ce site.
Les Pharmaciens,
Notre métier, c’est votre santé.


Veuillez signer la pétition en ligne sur le site : http://www.defendezvotresante.com/

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tombezmaladeaujourdhui

URGENCE !

Il n'y a plus une minute à perdre pour tomber malade.
Les Pharmaciens vous proposent quelques conseils pour y arriver dès aujourd'hui.
Rendez-vous sur 

 www.tombezmaladeaujourdhui.com

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Mésusage et le détournement de certains médicaments

Afssaps
Paris, le 10 avril 2008

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Lutte contre le mésusage et le détournement de certains médicaments

Parution de l’arrêté d’application de l’article 162-4-2 du code de la sécurité sociale

Pour renforcer la lutte contre le mésusage et le détournement de certains médicaments, le Directeur général de la santé et le Directeur de la sécurité sociale viennent de faire publier le 8 avril l’arrêté du 1er avril 2008 pris en application de l’article 162-4-2 du code de la sécurité sociale. Cet arrêté fixe, après avis du directeur général de l’agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), la liste des médicaments dont la prise en charge sera subordonnée à deux conditions : d’une part, l’inscription du nom du pharmacien désigné par le patient sur l’ordonnance ; d’autre part, en cas d’usage abusif ou de mésusage, l’établissement d’un protocole de soins entre le médecin traitant, le médecin conseil de la caisse d’assurance maladie et le patient.
La parution de cet arrêté était indispensable à la mise en oeuvre effective de l’article L162-4-2 du code de la sécurité sociale (CSS), qui renforce l’encadrement de la prescription et de la délivrance de soins ou traitements susceptibles de faire l'objet de mésusage, d’usage détourné ou d’usage abusif, notamment par de nouvelles conditions pour la prise en charge par l'assurance maladie.
Cette disposition répond à un double objectif d’amélioration du bon usage du médicament, de la qualité des soins et de réduction des coûts, en renforçant notamment le lien entre le médecin et le pharmacien. Le choix des médicaments concernés a fait l’objet d’une large concertation, notamment au sein d’instances réunissant des professionnels et des représentants d’associations (commission nationale des stupéfiants et des psychotropes de l’Afssaps, commission addictions du ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative).
Sont ainsi concernées l’ensemble des spécialités contenant les substances suivantes : buprénorphine haut dosage(*)
, flunitrazépam, méthadone et méthylphénidate.
Pour prétendre à la prise en charge par l’assurance maladie de ces médicaments, le patient devra désormais indiquer obligatoirement à son médecin le nom du pharmacien qui sera chargé de la délivrance. Le médecin devra quant à lui, mentionner ce nom sur la prescription qui devra être exécutée par le pharmacien ainsi désigné. Pour ces mêmes médicaments, si les services du contrôle médical de l’assurance maladie constatent un usage abusif ou un mésusage (sur la base de critères intégrant notamment les quantités prescrites et le nombre de prescripteurs), la prise en charge sera subordonnée à l’établissement d’un protocole de soins entre le médecin traitant, qu’il exerce en ville ou en établissement, et le médecin conseil de la caisse d’assurance maladie (article L.324-1 du code de la sécurité sociale). Ce protocole devra être signé par le patient.
L’arrêté prévoit, en outre, l’établissement systématique d’un tel protocole pour tout traitement par méthadone sous forme de gélule et ce, dès son initiation. En effet, la mise sur le marché de cette nouvelle galénique pourrait conduire à une augmentation des cas d’abus et de mésusage de la méthadone, entraînant des risques sanitaires plus importants. L’obligation d’établir un tel protocole est une des mesures de précaution qui ont été jugées nécessaires au stade de la délivrance de l’autorisation de mise sur le marché.
Contact presse DGS : 01 40 56 52 62
Contact presse Afssaps : 01 55 87 30 33 / 22 
(*) Définie comme la buprénorphine administrée par voie orale à des doses unitaires supérieures à 0,2 mg par prise

DÉLIVRER UNE BOÎTE EN PLUS SANS PRESCRIPTION

 

Les pharmaciens peuvent délivrer sans prescription une boîte de médicaments supplémentaire à leurs clients qui n’ont pas fait renouveler leur ordonnance à temps. Pour cela,l’assuré doit suivre un traitement chronique (trois mois minimum) dont une interruption pourraitêtre préjudiciable. Le pharmacien délivre la boîte en question sur la base de l’ordonnance initiale et en informe le médecin prescripteur.
Toutefois, la délivrance de stupéfiants, d’anxiolytiques et d’hypnotiques reste totalement exclue de ce dispositif.

Source : http://www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/documents/LettreAuxPharmaciens_janv2008.pdf

VIGNETTES « ORANGE »: DEREMBOURSEMENT

En application de l’article 41 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2006, deux arrêtés ont fixé à 15 % le taux de prise en charge, par l’assurance maladie, de certains médicaments dont le service médical rendu a été jugé insuffisant par la Commission de la transparence (vignettes orange)
Ces mêmes arrêtés ont prévu la radiation de ces médicaments de la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux à compter du 1er janvier 2008.
Comme nous vous l’avions précédemment indiqué, les médicaments antérieurement remboursés à hauteur de 15 % ne pourront donc plus, à compter de cette date, faire l’objet d’une prise en charge par l’assurance maladie.
Les dispositions prévues par l’annexe III-1 de la Convention nationale pharmaceutique, relatives au délai d’écoulement des stocks en cas de changement de taux de remboursement des médicaments, ne sont pas applicables en cas de déremboursement. Les pharmaciens ne bénéficient donc d’aucun délai afin d’écouler leurs stocks de médicaments déremboursés.
Les médicaments visés par les arrêtés précités ne devront donc plus, à compter du 1er janvier 2008, faire l’objet d’une demande de remboursement à l’assurance maladie.


Liste des produits(.doc) surtout des veinotoniques et un collutoire ( thiovalone )


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