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COMPARATIF

QUI EST LE MOINS CHER ?


 

Gain de pouvoir d'achat pour le client de la pharmacie 6,67 € Soit 36 %.

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suppression de la vignette pharmaceutique:

suppression de la vignette pharmaceutique:

Lien :   http://www.sante.gouv.fr/suppression-de-la-vignette-pharmaceutique-questions-reponses-a-l-attention-des-pharmaciens.html

Suppression de la vignette pharmaceutique - Questions/Réponses à l’attention des pharmaciens
20 mai 2014


Pourquoi la vignette est-elle supprimée le 1et juillet 2014 ?

Envisagée dès 1999 pour simplifier les circuits de facturation et de paiement des ordonnances, la suppression de la vignette pharmaceutique – qui indique actuellement le prix et le taux de prise en charge sur les boîtes de médicaments remboursables – a été décidée à la fin de l’année 2012, sur la base d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS).

La vignette est une spécificité française. Elle est source de complications administratives et techniques, et s’avère surtout superflue : tous les médicaments disposent désormais d’un code de traçabilité (le « Datamatrix ») et la transmission des feuilles de soins à l’Assurance maladie est maintenant entièrement informatisée.

La suppression de la vignette pharmaceutique sera effective le 1er juillet 2014 : à partir de cette date, les fabricants de médicaments remboursables cesseront ainsi d’apposer des vignettes sur les conditionnements.

Comment et par qui seront gérées les données sur le prix et la prise en charge des médicaments ?

Les prix et les conditions de prise en charge ne figurant plus sur les conditionnements, ils devront s’afficher sur le poste informatique de l’officine une fois le code de traçabilité scanné. Les logiciels de dispensation devront être reliés à une base de prix nationale commune, régulièrement mise à jour.
Cette base nationale, actuellement en cours de déploiement, est placée sous la responsabilité de l’instance qui publie les prix des médicaments au Journal Officiel (JO) : le Comité économique des produits de santé (CEPS). Elle est composée de fiches détaillées sur chaque médicament remboursable. Le CEPS mettra quotidiennement ces éléments à disposition des éditeurs de bases de médicaments (BDM), de logiciels de gestion des officines (LGO), du Club CIP (fichiers des industriels), de l’Assurance-maladie (CNAMTS, qui transmet aux autres régimes) et de l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM).

Qu’est-ce que le code CIP 13 et le Datamatrix ?

Le code CIP vise à identifier chaque médicament remboursable dans la base de données nationale. Il passe désormais de 7 à 13 chiffres. Un code de traçabilité, appelé « Datamatrix » remplace par ailleurs le traditionnel code barre, qui constituait jusqu’à présent le seul moyen d’identifier un médicament. Le code CIP 13 est inscrit en clair à coté du DataMatrix, de même que le numéro de lot et la date de péremption.
La traçabilité du médicament est entièrement sécurisée : des professionnels assurent la qualité, la sécurité et le suivi des produits tout au long du circuit et le nouveau code vient renforcer cette sécurité.

Qu’est-ce qui changera pour l’officine ?

À partir du 1er juillet 2014, le pharmacien pourra accéder au prix et au taux de remboursement des médicaments remboursables en scannant le code de traçabilité (le « Datamatrix »), en tapant manuellement l’identifiant CIP 13 du médicament ou en entrant les premières lettes du médicament sur le poste informatique de son officine.
Afin que le prix facturé soit bien celui issu du référentiel national, il est indispensable que :
- chaque officine soit équipé de la version 1.40 addendum 4 et suivants de Sésame Vitale : celles disposant encore de la version 1.31 doivent impérativement s’équiper de la nouvelle version dans les plus brefs délais ;
- les prix de la base du logiciel de l’officine soient actualisés quotidiennement ;
- seul le CIP 13 ou le code de traçabilité (« Datamatrix ») soit utilisé et non le code barre, comportant un ancien code à 7 chiffres

Que se passera-t-il en cas de changement de prix ?

Les changements de prix font l’objet d’une publication par un arrêté publié au Journal Officiel (J.O.), qui précise la date d’effet du changement de prix fabricants.
Le prix de vente par les industriels ou prix fabricant hors taxes (PFHT), soit le prix d’achat par les grossistes ou les officines ayant commandé les médicaments concernés en direct aux laboratoires, est modifié à partir de cette date d’effet.
Le prix facturé par l’officine à l’Assurance maladie est le prix public toutes taxes comprises (PPTTC), qui change à une date d’opposabilité.
En cas de baisse de prix
À compter de la date d’effet (date de changement du prix d’achat au laboratoire), un délai d’écoulement des stocks de 50 jours est appliqué avant changement de prix public à l’officine. Ainsi, la date d’opposabilité sera fixée à J+50 pour tous les produits (20 jours pour les grossistes et 30 jours supplémentaires pour les pharmaciens).
En cas de hausse de prix
Le nouveau PPTTC sera applicable immédiatement (date d’opposabilité = date d’effet J+0).
Pour l’inscription des nouveaux médicaments
L’inscription au remboursement des nouveaux médicaments sera effective quatre jours après publication au JO (délai nécessaire pour que la mise à jour du référentiel CEPS atteigne l’ensemble des officines ; ceci n’exclut pas que les laboratoires approvisionnent les grossistes et officines en stock de médicament).
Les changements de marge et de taux
Ils seront applicables à la date d’effet stipulée dans l’arrêté qui les fixe.

Que faire des boîtes comportant les anciennes vignettes ?

La suppression de la vignette sera effective dès l’arrêt de l’apposition des vignettes par les industriels, qui sera effectif au 1er juillet. Les conditionnements munis de vignette encore présents dans le circuit de distribution pourront être écoulés sans limite de date.
Attention : à partir du 1er juillet, le prix figurant sur la vignette ne devra plus être pris en compte ; seuls les prix actualisés à partir du référentiel national devront être considérés.

Comment les usagers seront informés ?

Les informations sur le prix et le taux de remboursement des médicaments disparaissant de leur conditionnement, elles doivent être délivrées au patient sur un autre support.

Dispensation à partir d’une prescription

L’information sur les prix figurera sur le ticket Vitale, imprimé par la pharmacie au verso de l’ordonnance au moment de la dispensation. Les éléments qui doivent obligatoirement être spécifiés sur ce ticket seront prochainement précisés par voie réglementaire.

Dispensation sans prescription

L’article L.113-3 du code de la consommation pose une obligation générale d’information préalable sur le lieu de vente, s’appliquant à tous les commerces.
L’actuel arrêté du 26 mars 2003 fixe les conditions d’information du consommateur sur les prix des médicaments non-remboursables dans les officines de pharmacies. Il sera abrogé et remplacé par un arrêté, en cours de finalisation, intéressant les médicaments remboursables et les médicaments non remboursables.
Trois moyens d’information alternatifs pourront également remplir cette obligation d’information :
- l’étiquetage ;
- l’accès à un catalogue sur support papier ou électronique, qui pourra par exemple être constitué d’une extraction de la base actualisée du logiciel de l’officine et devra toutefois être différencié du catalogue des médicaments non-remboursables, pour lequel le prix est libre et peut être différent d’une officine à l’autre ;
- la mise à disposition d’une interface d’accès à Internet, permettant notamment l’accès au site gouvernemental d’information sur les médicaments : www.medicaments.gouv.fr.
 

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Elections Nationales

Le 26 Mars 2013

Voilà notre Premier Membre élu au Bureau National

M. Pierre HICKEL
Pharmacie
1bis, rue de Belfort
68190 ENSISHEIM

Toutes nos félicitations

              

 

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Mon Pharmacien j'en ai besoin ...

Nouvelle page 2

lien >> Mon Pharmacien j'en ai besoin <<

lien: Film N°1 / La braderie aux médicaments... Pouvons-nous acheter des médicaments en vrac comme un pack de lessive ?
+ Dans votre pharmacie vous êtes servis par du personnel qualifié.Le nombre de pharmaciens est proportionnel à l'activité
+ Dans une pharmacie vous trouvez toujours un espace de confidentialité
+ Dans votre intérêt , votre pharmacien peut refuser de vous délivrer un médicament
+ Les pharmaciens sont soumis au code de déontologie et à ce titre doivent : Respecter la vie et la personne humaine / Contribuer à    l'information et l'éducation sanitaire / Respecter le secret professionnel / Préserver leur indépendance professionnelle
+ Alors qui est le mieux placé pour dispenser des médicaments ?


lien : Film N°2 / Mais où est la croix verte ?... Parcourir 50 kms pour acheter ses médicaments, est-ce bien raisonnable ?
+ Grâce aux 22500 pharmacies réparties harmonieusement sur le sol français, vous n’avez pas besoin d’aller loin. Il n'y a pas de désert    pharmaceutique.
+ Où que vous habitiez à la ville ou à la campagne, il y a toujours une croix verte près de chez vous.
+ En France, 1450 pharmacies sont de garde tous les dimanches, jours feriés et 1150 toutes les nuits.
+ Faire plusieurs dizaines de kms pour trouver moins cher, est-ce vraiment rentable ?
+ Votre pharmacie de quartier est irremplaçable : proximité, services, accueil, connaissance des patients…
+ Chez nous la permanence des soins c'est 24h/24 et 7j / 7...... Qui fait mieux ?

 

lien :Film N°3 / Acheter à n’importe quel prix ?... Pouvons-nous faire confiance à n’importe qui pour acheter nos médicaments ?
+ Seuls les professionnels de santé de proximité peuvent garantir la qualité et la provenance des médicaments. Un pharmacien    responsable garantit la SÉCURITÉ à chaque étape… de la fabrication à la délivrance du médicament, en passant par la distribution !
+ La TRAÇABILITÉ est vérifiable de la matière première jusqu'à la dispensation au patient.
+ La QUALITÉ de la dispensation, la conservation des médicaments, la chaîne d'approvisionnement, les diplômes des dispensateurs    sont contrôlés par des inspecteurs de l'AGENCE RÉGIONALE DE SANTÉ.
+ La FORMATION des pharmaciens et préparateurs est obligatoire et assurée par des organismes indépendants sous l’égide de la    Haute Autorité de Santé...... Qui pourrait offrir une meilleure sécurité pour le patient ?

lien :Film N°4 / L’auto-médication par Internet... Il y a toutes sortes de conseils sur internet. Est-ce aussi fiable qu’un pharmacien diplômé ?
+ La santé n’est pas un jeu de hasard. Tout le monde ne peut pas s’improviser Pharmacien.
+ Pour votre sécurité, le médicament c'est mon Pharmacien Sinon Rien.
+ Dans les pharmacies françaises, la contrefaçon n'existe pas.
+ Selon l’OMS, 50 % des médicaments vendus sur internet sont des faux.
+ Rien ne peut remplacer le contact direct et le conseil de son pharmacien.
+ Seuls les pharmaciens d'officine peuvent consulter et alimenter votre Dossier Pharmaceutique et avoir ainsi accès aux médicaments    prescrits ou conseillés pendant les 4 derniers mois partout en France...... Qui peut vous offrir les mêmes garanties ?

lien :Film N°5 / La profession de pharmacien reconnue d’utilité publique.. .POURQUOI vouloir fragiliser un réseau efficace, efficient, reconnu et au sein duquel la concurrence existe déjà ?
+ Vouloir fragiliser le réseau Pharmacien et entraîner en partie sa disparition pour des raisons politiques ou financières, c’est oublier que le médicament n'est pas un produit comme les autres et c'est prendre le risque d'affaiblir TOUTE la chaîne de santé..
+ Les médicaments sont des produits actifs qui doivent être pris à bon escient et dans un cadre précis.
+ Les pharmaciens sont des professionnels de santé, spécialistes du médicament et de leur bon usage.
+ Dans une pharmacie, vous n'êtes pas un client de plus parmi tant d'autres, mais un patient unique. Et c’est toute la différence !
+ Préservons notre santé !...... MON PHARMACIEN J’EN AI VRAIMENT BESOIN.

 

 

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CAMPAGNE MEDIATIQUE Michel Edouard LECLERC

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Tiers Payant contre Generiques

Nouvelle page 1

Tiers-payant  Contre Génériques

 

 

 

Aujourd’hui, votre pharmacien n’est autorisé à vous faire bénéficier du tiers-payant que dans le cas ou vous acceptez qu’il vous délivre des médicaments génériques à la place des médicaments de marque indiqués sur votre ordonnance.
Ce dispositif vous concerne même si vous bénéficiez de la CMU et/ou de la CMUC,
même si vous êtes pris en charge au titre d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle ou si vous êtes en affection de longue durée.
Il s’applique uniquement aux médicaments qui disposent d’un générique.

Dans quels cas dois-je payer mes médicaments chez mon pharmacien ?
Tout dépendra de mon choix. Si je choisis qu’il me délivre des génériques, je serai dispensé de l’avance des frais .
Si je refuse le médicament générique, je devrai régler mes médicaments. Je pourrai ensuite me faire rembourser auprès de ma caisse d’Assurance Maladie en lui adressant la feuille de soins que mon pharmacien m’aura remise

Le médicament générique est-il moins sur que le médicament de marque ?
Les médicaments génériques sont soumis aux mêmes contrôles que les médicaments de marque. Les critères de qualité et de sécurité sont respectés et totalement garantis. Même si la couleur, la forme et l’emballage changent, le principe actif à l’origine de l’efficacité du médicament reste strictement identique

 

 

 

INFO FLASH

 La Commission Paritaire Régionale d'Alsace et la Commission Paritaire Locale des Pharmaciens du Bas-Rhin, prévues par la nouvelle Convention Nationale, ont été mises en place ce jeudi 12 juillet 2012.

A cette occasion, les CPAM du Haut-Rhin et du Bas-Rhin ont présenté le renforcement du dispositif tiers-payant contre génériques entériné par la Commission Paritaire Nationale du 06 juin 2012, dispositif qui concerne tous les Pharmaciens sans exception.

Le principe en est simple et clair :

- Application stricte du dispositif (seules les dérogations légales seront admises, à savoir les dérivés de la Thyroxyne, le Fentanyl, les antiépilleptiques et la mention non substituable correctement libellée).

- Seule la mention << non substituable >> manuscrite et en toutes lettres est acceptée.

- Cette mention doit être inscrite en regard de chaque médicament concerné et en aucun cas pour toute l'ordonnance.

- En cas de refus du patient, retour à la facturation papier sur volet brun Cerfa assorti de la mention << refus du générique >>.

- Le patient collera la vignette et enverra la feuille à la Caisse dont il dépend.

Remarques:

● Le principe d'une double facturation a été retenu :

- Le tiers-payant s'applique sur toute la partie conforme de l'ordonnance.

- Le dispositif papier ne s'applique que sur la ou les lignes non conformes à l'accord.

- La télétransmission de factures payantes non conformes est proscrite et sera décomptée dans l'application d'éventuelles sanctions individuelles.

● Les médicaments sous TFR et les médicaments dont le prix du princeps est égal à celui du générique sont exclus du dispositif.

● Les médicaments à base de Buprénorphine sont inclus dans le dispositif.

● La mesure s'applique à toute la population y compris les CMU, ALD, etc...

● La mesure s'applique également aux personnes de plus de 75 ans pour lesquelles une mesure supplémentaire est prévue afin qu'elles soient garanties que le même générique leur soit délivré au fil du temps afin d'éviter les confusions.

● La mention APNS n’a pas lieu d’être

TOUTE CONVENTION OU TOUT ACCORD LOCAL PRECEDEMMENT EN VIGUEUR SONT CADUCS

Ces mesures sont applicables immédiatement, néanmoins nous avons retenu la date du LUNDI 16 JUILLET comme date de démarrage pour l'observation du taux de pénétration du générique.

La Convention prévoit également des sanctions afin que tous les pharmaciens appliquent strictement la mesure.

Les récalcitrants se verront convoqués par les Caisses, mis sous surveillance et risqueront des rejets de lots entiers, voire des sanctions conventionnelles.

L'objectif national à atteindre est de 85% de taux de pénétration du générique !

Les médecins sont avertis de la mise en place de la mesure et les récalcitrants seront rappelés à l'ordre afin que les Pharmaciens victimes d'un abus de la mention << non substituable >> ne soient pas pénalisés par les pratiques de ces prescripteurs.

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RETRAIT DES MEDICAMENTS CONTENANT DU DEXTROPROPOXYPHENE

 (Di-Antalvic®, Propofan® et leurs génériques)

 

 

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Pour mémoire, par décision du 14 juin dernier, la Commission Européenne a confirmé l’avis défavorable de l’Agence européenne du médicament, quant au rapport bénéfiques/risques des spécialités à base de dextropropoxyphène (DXP), et décidé le retrait, dans l’ensemble des Etats membres de l’Union européenne, des autorisations de mise sur le marché (AMM) des médicaments à base de DXP, dans un délai maximum de 15 mois.

 

Depuis cette décision, de nouvelles données américaines ont été communiquées, le 19 novembre dernier, par la Food and Drug Administration (FDA). Ces dernières suggèrent qu’un risque de modification de l’électrocardiogramme (ECG) pourrait exister chez les personnes âgées, consommant de telles spécialités aux doses thérapeutiques maximales recommandées en France, du fait d’une diminution de l’élimination de ce principe actif par les voies hépatique et rénale.

 

Compte tenu, notamment, de ces nouvelles données, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (Afssaps) a annoncé le retrait du marché français des spécialités contenant du DXP au 1er mars 2011, soit avant la fin du délai maximal de 15 mois.

 

Dans l’attente du retrait, l’Afssaps appelle les patients traités habituellement ou occasionnellement par des spécialités à base de DXP à consulter leur médecin traitant. Les prescripteurs ont été informés de ce retrait par l’Agence dans un courrier en date du 15 février 2011. L’Afssaps souligne que, dans le but d’aider les professionnels de santé à déterminer l’alternative thérapeutique adaptée à chaque patient, des recommandations sont désormais consultables sur son site Internet, à l’adresse :

 

http://www.afssaps.fr/Infos-de-securite/Mises-au-point/Prise-en-charge-des-douleurs-de-l-adulte-moderees-a-intenses-Mise-au-point

 

Aux termes d’une lettre adressée le 15 février aux pharmaciens officinaux et hospitaliers et annexée à la présente circulaire, l’Afssaps précise que le retrait des médicaments à base de dextropropoxyphène sera mis en œuvre par le dispositif habituel de rappel de lots, pour lequel les pharmaciens recevront un bordereau spécifique le 1er mars.

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ARS : enquête grand public

L’Agence régionale de santé lance la première enquête grand public

sur les priorités de santé en Alsace

 

Dans la perspective de l’élaboration du plan stratégique régional de santé, l’ARS d’Alsace lance une enquête auprès du grand public sur ses attentes en matière de santé.

Le questionnaire est accessible en ligne jusqu’au 20 février 2011, sur un site dédié à cette consultation : www.projet-sante-alsace.fr

 

La consultation porte sur les attentes des usagers dans le domaine de la prévention et des soins, de l’organisation du système de santé, de la prise en charge de populations particulières, et sur leurs préoccupations pour leur santé et celle de leurs proches.

 

Le questionnaire a été élaboré en collaboration avec l’Observatoire régional de la santé d’Alsace (ORSAL), qui assurera également l’exploitation statistique des résultats. 

 

Il s’agit de mieux cerner les attentes des usagers, leurs préoccupations, d’identifier des thèmes d’insatisfaction ou de carences qui ne seraient pas apparus au cours des consultations organisées dans un cadre plus institutionnel : groupes de travail associant des partenaires et experts extérieurs à l’Agence, Conférence régionale de la santé et de l’autonomie, Conférences de territoire …. 

 

La mobilisation autour de cette enquête sera relayée par des acteurs locaux et régionaux de la santé, une affichette est disponible à cette fin. Les résultats seront rendus publics début mars 2011, via le site internet de l’ARS www.ars.alsace.sante.fr. 

 

Ils seront pris en compte lors de la finalisation des priorités d’action en santé qui interviendra en avril 2011.

 

Cette démarche se déroule en complément du recueil des observations et propositions des professionnels de santé sur le projet régional de santé, au moyen d’une adresse électronique dédiée : ars-alsace-prs@ars.sante.fr

 

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