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Sommaire de l'article


Campagne Médicament générique



En 20 ans, les médicaments génériques se sont installés dans la vie quotidienne des Français : aujourd’hui, 8 Français sur 10 les utilisent et 93% en sont satisfaits.

Cependant, l’information des professionnels de santé et des patients sur ces médicaments peut encore progresser : seuls 47% des patients, 64% des médecins généralistes et 86% des pharmaciens savent par exemple qu’il existe des médicaments génériques qui soignent le cancer.

La campagne d’information que lance aujourd’hui Marisol Touraine met à la disposition des patients et des professionnels de santé des données claires et précises sur l’efficacité, la qualité et la sécurité de ces médicaments.

Son objectif : lever les derniers doutes et idées reçues pour ancrer définitivement l’usage des médicaments génériques dans la vie quotidienne des Français.

Cette campagne conforte par ailleurs leur statut de médicament à part entière : un concentré d’expérience et d’expertise, efficace et sûr, économique et citoyen.

Des outils de communication ludiques et pédagogiques ont ainsi été développés autour d’une signature « Devenir générique ça se mérite » :

- un spot TV diffusé sur les chaînes nationales du 27 septembre au 18 octobre



Lien pour "devenir générique ça se mérite"



Efficaces, sûrs et économiques, ils participent à la pérennité de notre système de santé. 7 milliards d’euros en cinq ans : telles sont les économies que nous avons réalisées grâce à eux. Des économies réinvesties afin d’améliorer l’accès de tous à des traitements innovants.

Aujourd’hui, il faut aller plus loin et lever les derniers freins à l’usage de ces médicaments.

J’ai lancé en ce sens, en mars 2015, le Plan national de promotion des médicaments génériques. Cette grande campagne d’information est l’un des volets de ce plan.

Son objectif : renforcer la confiance et les connaissances des Français, patients comme professionnels de santé, en mettant à leur disposition une information claire et précise.

Pour porter haut le message de cette campagne, chaque acteur de la chaîne d’information doit en être le relais. Patients, prescripteurs, pharmaciens, chacun doit s’engager pour répondre aux interrogations et orienter celles et ceux qui auraient encore des questions, des doutes, vers le site www.medicaments.gouv.fr.

Renforcer la confiance et les connaissances des Français, lever les craintes qui persistent, valoriser le rôle des professionnels de santé en tant que prescripteurs et assurer la pérennité financière de notre système de santé, tels sont les enjeux de cette campagne qui doit tous nous mobiliser.


- une campagne digitale, comprenant notamment plusieurs vidéos pédagogiques sur les médicaments génériques (Comment sont-ils contrôlés ? Pourquoi les utiliser ?) diffusée sur les sites du ministère et de ses partenaires, ainsi que sur les réseaux sociaux à partir du 27 septembre

- un espace d’information et d’échanges au service des professionnels de santé et du grand public : du 27 septembre au 25 novembre, les internautes pourront poser toutes leurs questions sur les médicaments génériques à des experts

- 10 annonces illustrées, déclinées autour des cinq thématiques de la campagne (l’antériorité, l’efficacité-sécurité, la qualité, les enjeux économiques et sociétaux, la pratique au quotidien) affichées dans les pharmacies et centres commerciaux, et publiées dans la presse du 2 octobre au 27 novembre

- des spots radio, donnant la parole à des experts et à des professionnels de santé, diffusés pendant trois semaines à partir du 22 octobre

- des outils pour faciliter la pratique des professionnels de santé : 5 mémos pratiques ont été élaborés à partir de tables rondes réunissant des professionnels de santé et patients organisées en région en partenariat avec le Collège de la Médecine Générale (CMG)

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Mobilisation du 30 septembre 2015

Mobilisons-nous ! 

 

Chers Confrères,

Une action de communication de grande ampleur a été mise en oeuvre par la FSPF.

Cette opération nécessite une grande coordination à l’échelon national. Sa préparation dans la plus grande discrétion était essentielle à sa réussite, c’est pourquoi nous avons attendu le dernier jour pour vous en informer.

Le 30 septembre 2015 est la date anniversaire de notre mouvement de 2014.

A cette occasion nous tenons, d’une part à remercier les millions de patients qui ont signé notre pétition et nous les informons sur les dangers qui planent sur la pharmacie française et, d’autre part, nous envoyons un message d’alerte à tous nos hommes politiques, en particulier au Président de la République, sous forme de lettre ouverte. Le SPHR prendra contact avec tous les élus du département pour leur expliquer la situation critique de la pharmacie française.

Cette lettre sera publiée demain, mercredi 30 septembre, dans le journal Le Monde et sera relayée par d’autres médias grand public et professionnels ainsi que dans la presse locale.

Nous vous demandons de l’afficher sur vos vitrines (PJ 1) ainsi que l’affiche « STOP » (PJ 2) à partir de demain, ces mêmes documents vont vous être adressés par fax par la FSPF. 

Nous vous encourageons fortement à envoyer un exemplaire de la lettre ouverte (Voir suite du document), revêtu du cachet de votre officine, au Palais de l’Elysée, sans l’affranchir.

La réussite de cette opération dépend de vous !

Confraternellement,

 

Les membres du bureau syndical suite...

action UNAPL le 30 septembre 2014


L’UNPF68 et la FSPF68 appellent les pharmaciens du Haut-Rhin à fermer leurs officines la matinée (jusqu’à midi) du mardi 30 septembre 2014
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Manifestation devant la préfecture le 24 septembre 2014

De 400 à 700 pharmaciens, préparateurs ou étudiants en pharmacie ont manifesté mercredi devant la préfecture de Colmar pour dénoncer le projet gouvernemental de réforme des professions réglementées.

 

 

diaporama de la manifestation : ici
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COMPARATIF

QUI EST LE MOINS CHER ?


 

Gain de pouvoir d'achat pour le client de la pharmacie 6,67 € Soit 36 %.

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suppression de la vignette pharmaceutique:

suppression de la vignette pharmaceutique:

Lien :   http://www.sante.gouv.fr/suppression-de-la-vignette-pharmaceutique-questions-reponses-a-l-attention-des-pharmaciens.html

Suppression de la vignette pharmaceutique - Questions/Réponses à l’attention des pharmaciens
20 mai 2014


Pourquoi la vignette est-elle supprimée le 1et juillet 2014 ?

Envisagée dès 1999 pour simplifier les circuits de facturation et de paiement des ordonnances, la suppression de la vignette pharmaceutique – qui indique actuellement le prix et le taux de prise en charge sur les boîtes de médicaments remboursables – a été décidée à la fin de l’année 2012, sur la base d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS).

La vignette est une spécificité française. Elle est source de complications administratives et techniques, et s’avère surtout superflue : tous les médicaments disposent désormais d’un code de traçabilité (le « Datamatrix ») et la transmission des feuilles de soins à l’Assurance maladie est maintenant entièrement informatisée.

La suppression de la vignette pharmaceutique sera effective le 1er juillet 2014 : à partir de cette date, les fabricants de médicaments remboursables cesseront ainsi d’apposer des vignettes sur les conditionnements.

Comment et par qui seront gérées les données sur le prix et la prise en charge des médicaments ?

Les prix et les conditions de prise en charge ne figurant plus sur les conditionnements, ils devront s’afficher sur le poste informatique de l’officine une fois le code de traçabilité scanné. Les logiciels de dispensation devront être reliés à une base de prix nationale commune, régulièrement mise à jour.
Cette base nationale, actuellement en cours de déploiement, est placée sous la responsabilité de l’instance qui publie les prix des médicaments au Journal Officiel (JO) : le Comité économique des produits de santé (CEPS). Elle est composée de fiches détaillées sur chaque médicament remboursable. Le CEPS mettra quotidiennement ces éléments à disposition des éditeurs de bases de médicaments (BDM), de logiciels de gestion des officines (LGO), du Club CIP (fichiers des industriels), de l’Assurance-maladie (CNAMTS, qui transmet aux autres régimes) et de l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM).

Qu’est-ce que le code CIP 13 et le Datamatrix ?

Le code CIP vise à identifier chaque médicament remboursable dans la base de données nationale. Il passe désormais de 7 à 13 chiffres. Un code de traçabilité, appelé « Datamatrix » remplace par ailleurs le traditionnel code barre, qui constituait jusqu’à présent le seul moyen d’identifier un médicament. Le code CIP 13 est inscrit en clair à coté du DataMatrix, de même que le numéro de lot et la date de péremption.
La traçabilité du médicament est entièrement sécurisée : des professionnels assurent la qualité, la sécurité et le suivi des produits tout au long du circuit et le nouveau code vient renforcer cette sécurité.

Qu’est-ce qui changera pour l’officine ?

À partir du 1er juillet 2014, le pharmacien pourra accéder au prix et au taux de remboursement des médicaments remboursables en scannant le code de traçabilité (le « Datamatrix »), en tapant manuellement l’identifiant CIP 13 du médicament ou en entrant les premières lettes du médicament sur le poste informatique de son officine.
Afin que le prix facturé soit bien celui issu du référentiel national, il est indispensable que :
- chaque officine soit équipé de la version 1.40 addendum 4 et suivants de Sésame Vitale : celles disposant encore de la version 1.31 doivent impérativement s’équiper de la nouvelle version dans les plus brefs délais ;
- les prix de la base du logiciel de l’officine soient actualisés quotidiennement ;
- seul le CIP 13 ou le code de traçabilité (« Datamatrix ») soit utilisé et non le code barre, comportant un ancien code à 7 chiffres

Que se passera-t-il en cas de changement de prix ?

Les changements de prix font l’objet d’une publication par un arrêté publié au Journal Officiel (J.O.), qui précise la date d’effet du changement de prix fabricants.
Le prix de vente par les industriels ou prix fabricant hors taxes (PFHT), soit le prix d’achat par les grossistes ou les officines ayant commandé les médicaments concernés en direct aux laboratoires, est modifié à partir de cette date d’effet.
Le prix facturé par l’officine à l’Assurance maladie est le prix public toutes taxes comprises (PPTTC), qui change à une date d’opposabilité.
En cas de baisse de prix
À compter de la date d’effet (date de changement du prix d’achat au laboratoire), un délai d’écoulement des stocks de 50 jours est appliqué avant changement de prix public à l’officine. Ainsi, la date d’opposabilité sera fixée à J+50 pour tous les produits (20 jours pour les grossistes et 30 jours supplémentaires pour les pharmaciens).
En cas de hausse de prix
Le nouveau PPTTC sera applicable immédiatement (date d’opposabilité = date d’effet J+0).
Pour l’inscription des nouveaux médicaments
L’inscription au remboursement des nouveaux médicaments sera effective quatre jours après publication au JO (délai nécessaire pour que la mise à jour du référentiel CEPS atteigne l’ensemble des officines ; ceci n’exclut pas que les laboratoires approvisionnent les grossistes et officines en stock de médicament).
Les changements de marge et de taux
Ils seront applicables à la date d’effet stipulée dans l’arrêté qui les fixe.

Que faire des boîtes comportant les anciennes vignettes ?

La suppression de la vignette sera effective dès l’arrêt de l’apposition des vignettes par les industriels, qui sera effectif au 1er juillet. Les conditionnements munis de vignette encore présents dans le circuit de distribution pourront être écoulés sans limite de date.
Attention : à partir du 1er juillet, le prix figurant sur la vignette ne devra plus être pris en compte ; seuls les prix actualisés à partir du référentiel national devront être considérés.

Comment les usagers seront informés ?

Les informations sur le prix et le taux de remboursement des médicaments disparaissant de leur conditionnement, elles doivent être délivrées au patient sur un autre support.

Dispensation à partir d’une prescription

L’information sur les prix figurera sur le ticket Vitale, imprimé par la pharmacie au verso de l’ordonnance au moment de la dispensation. Les éléments qui doivent obligatoirement être spécifiés sur ce ticket seront prochainement précisés par voie réglementaire.

Dispensation sans prescription

L’article L.113-3 du code de la consommation pose une obligation générale d’information préalable sur le lieu de vente, s’appliquant à tous les commerces.
L’actuel arrêté du 26 mars 2003 fixe les conditions d’information du consommateur sur les prix des médicaments non-remboursables dans les officines de pharmacies. Il sera abrogé et remplacé par un arrêté, en cours de finalisation, intéressant les médicaments remboursables et les médicaments non remboursables.
Trois moyens d’information alternatifs pourront également remplir cette obligation d’information :
- l’étiquetage ;
- l’accès à un catalogue sur support papier ou électronique, qui pourra par exemple être constitué d’une extraction de la base actualisée du logiciel de l’officine et devra toutefois être différencié du catalogue des médicaments non-remboursables, pour lequel le prix est libre et peut être différent d’une officine à l’autre ;
- la mise à disposition d’une interface d’accès à Internet, permettant notamment l’accès au site gouvernemental d’information sur les médicaments : www.medicaments.gouv.fr.
 

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Elections Nationales

Le 26 Mars 2013

Voilà notre Premier Membre élu au Bureau National

M. Pierre HICKEL
Pharmacie
1bis, rue de Belfort
68190 ENSISHEIM

Toutes nos félicitations

              

 

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Mon Pharmacien j'en ai besoin ...

Nouvelle page 2

lien >> Mon Pharmacien j'en ai besoin <<

lien: Film N°1 / La braderie aux médicaments... Pouvons-nous acheter des médicaments en vrac comme un pack de lessive ?
+ Dans votre pharmacie vous êtes servis par du personnel qualifié.Le nombre de pharmaciens est proportionnel à l'activité
+ Dans une pharmacie vous trouvez toujours un espace de confidentialité
+ Dans votre intérêt , votre pharmacien peut refuser de vous délivrer un médicament
+ Les pharmaciens sont soumis au code de déontologie et à ce titre doivent : Respecter la vie et la personne humaine / Contribuer à    l'information et l'éducation sanitaire / Respecter le secret professionnel / Préserver leur indépendance professionnelle
+ Alors qui est le mieux placé pour dispenser des médicaments ?


lien : Film N°2 / Mais où est la croix verte ?... Parcourir 50 kms pour acheter ses médicaments, est-ce bien raisonnable ?
+ Grâce aux 22500 pharmacies réparties harmonieusement sur le sol français, vous n’avez pas besoin d’aller loin. Il n'y a pas de désert    pharmaceutique.
+ Où que vous habitiez à la ville ou à la campagne, il y a toujours une croix verte près de chez vous.
+ En France, 1450 pharmacies sont de garde tous les dimanches, jours feriés et 1150 toutes les nuits.
+ Faire plusieurs dizaines de kms pour trouver moins cher, est-ce vraiment rentable ?
+ Votre pharmacie de quartier est irremplaçable : proximité, services, accueil, connaissance des patients…
+ Chez nous la permanence des soins c'est 24h/24 et 7j / 7...... Qui fait mieux ?

 

lien :Film N°3 / Acheter à n’importe quel prix ?... Pouvons-nous faire confiance à n’importe qui pour acheter nos médicaments ?
+ Seuls les professionnels de santé de proximité peuvent garantir la qualité et la provenance des médicaments. Un pharmacien    responsable garantit la SÉCURITÉ à chaque étape… de la fabrication à la délivrance du médicament, en passant par la distribution !
+ La TRAÇABILITÉ est vérifiable de la matière première jusqu'à la dispensation au patient.
+ La QUALITÉ de la dispensation, la conservation des médicaments, la chaîne d'approvisionnement, les diplômes des dispensateurs    sont contrôlés par des inspecteurs de l'AGENCE RÉGIONALE DE SANTÉ.
+ La FORMATION des pharmaciens et préparateurs est obligatoire et assurée par des organismes indépendants sous l’égide de la    Haute Autorité de Santé...... Qui pourrait offrir une meilleure sécurité pour le patient ?

lien :Film N°4 / L’auto-médication par Internet... Il y a toutes sortes de conseils sur internet. Est-ce aussi fiable qu’un pharmacien diplômé ?
+ La santé n’est pas un jeu de hasard. Tout le monde ne peut pas s’improviser Pharmacien.
+ Pour votre sécurité, le médicament c'est mon Pharmacien Sinon Rien.
+ Dans les pharmacies françaises, la contrefaçon n'existe pas.
+ Selon l’OMS, 50 % des médicaments vendus sur internet sont des faux.
+ Rien ne peut remplacer le contact direct et le conseil de son pharmacien.
+ Seuls les pharmaciens d'officine peuvent consulter et alimenter votre Dossier Pharmaceutique et avoir ainsi accès aux médicaments    prescrits ou conseillés pendant les 4 derniers mois partout en France...... Qui peut vous offrir les mêmes garanties ?

lien :Film N°5 / La profession de pharmacien reconnue d’utilité publique.. .POURQUOI vouloir fragiliser un réseau efficace, efficient, reconnu et au sein duquel la concurrence existe déjà ?
+ Vouloir fragiliser le réseau Pharmacien et entraîner en partie sa disparition pour des raisons politiques ou financières, c’est oublier que le médicament n'est pas un produit comme les autres et c'est prendre le risque d'affaiblir TOUTE la chaîne de santé..
+ Les médicaments sont des produits actifs qui doivent être pris à bon escient et dans un cadre précis.
+ Les pharmaciens sont des professionnels de santé, spécialistes du médicament et de leur bon usage.
+ Dans une pharmacie, vous n'êtes pas un client de plus parmi tant d'autres, mais un patient unique. Et c’est toute la différence !
+ Préservons notre santé !...... MON PHARMACIEN J’EN AI VRAIMENT BESOIN.

 

 

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